Notre couple va voir le théâtre avec les enfants, la jeune femme me semble très étrange.
Au déjeuner, quelques mots sont échangés sur le chant de M. Glatz, mais c’est un malentendu. Journée assez difficile.
Le soir, je reçois une lettre très émouvante de Doris von Berkefeldt qui me demande d’être marraine de son fils. J’accepte à l’instant.
Le soir, musi-que, le quatuor en fa majeur de Beethoven et quelques passages de Rienzi.