Nous faisons nos bagages et nous faisons nos adieux, « c’est de tels hommes que je descends dans le meilleur sens du terme », me dit R. Nous partons à 3 heures 58 : mon père nous attend avec Mme von Meyendorff à Neunkirchen. Mon père va bien, il est gai et vraiment heureux de nous revoir. Nous descendons à l’hôtel Ungaria.
Samedi 6 (6 mars 1875)
Cosima Wagner Journaux